L’automatisation de la production et du test de code aboutira-t-elle à un code parfait ? Sur le papier, l’idée est tentante. Mais un code parfait est-il un code adapté à tous les usages ? Rien n’est moins sûr. C’est pour cela que les entrepreneurs utilisent un savant mélange de tests automatiques et manuels.

A l’ère où des robots sont capables de danser et où des intelligences artificielles peuvent prendre un rendez-vous à notre place, un bot ne pourrait-il pas remplacer les développeurs ? Cela arrivera à un moment ou un autre mais il n’est pour l’instant pas question de mettre au placard tous les ingénieurs informatiques, d’autant que leurs représentants français sont mondialement reconnus pour leur qualité. En revanche, l’automatisation est d’ores et déjà utilisée pour tester le code écrit par des humains en chair et en os.

Dans un livre blanc intitulé Automatisation et tests manuels : trouver le bon équilibre, l’entreprise Applause, spécialisée dans les tests digitaux, explique ainsi que “l’automatisation doit faire partie intégrante de toute stratégie de testing car elle fournit des résultats fiables, répétables et à grande échelle”. C’est là tout l’intérêt d’un processus de test normé, appliqué indéfiniment à une quantité toute aussi infinie de lignes de code et qu’un humain serait bien incapable de prendre en charge à la même vitesse qu’un ordinateur. En sous-traitant des tests de grande ampleur à une entité automatisée, les développeurs et responsables techniques peuvent se concentrer sur la valeur ajoutée du produit sur lequel ils travaillent.

LIRE LA SUITE